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 Scar - I'm surrounded by idiots (and I love them)

Scarlett Van Doren
Scarlett Van Doren
‣ Messages : 75
‣ Points : 109
‣ Emploi : assistante-productrice
‣ Situation amoureuse : Libre comme l'air
Scar - I'm surrounded by idiots (and I love them) EmptyJeu 28 Juil - 17:38

Dorothy Scarlett Van Doren
Run. Run away, and never return.

feat Chantelle Brown-Young

Âge : 26 ans
Date et lieu de naissance : le 16 janvier 1990 à Johannesburg, Afrique du Sud.
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle typique jusqu'au bout de ses ongles manucurés. Elle est parfois un peu déçue des opportunités dont ça la prive, mais la seule opportunité qu'elle regrette vraiment, c'est d'emmerder ses parents en leur ramenant une fiancée.
Statut marital : Divorcée et elle l'annonce avec une certaine fierté, qu'elle n'aurait jamais pensé associer à ce statut, après ce que ses parents lui avaient fait vivre. Mais après un mariage à Vegas bien trop court avec un jeune homme qu'elle apprécie beaucoup trop, et bien, elle a finit par apprécier la sonorité du mot. Et puis, Scarlett a une fâcheuse tendance à assumer tout ce qui peut arriver dans sa vie. Divorcée donc, et disponible, toujours.
Métier : La majeure partie de sa vie, Scarlett n'a jamais prévu d'être quoi que ce soit d'autre que riche héritière. Son ex-mari lui a cependant fait découvrir un milieu qu'elle adore, et elle a décidé d'essayer de s'y faire une place. Elle a testé à peu près tous les métiers que l'on peut imaginer en coulisse d'un musical, parce qu'elle est consciente que si elle maîtrise quand il s'agit de faire un karaoké, chanter ne sera jamais sa carrière. Sa dernière trouvaille, qui semble tenir mieux que les autres, c'est d'être assistante-productrice. Si être assistante n'est pas son rêve, elle sait qu'il faut passer par là, être formée un peu, avant d'investir l'argent de son père dans des pièces qui lui plaisent.

who are you?

Scarlett a vu sa famille revenir à New York et ses parents divorcer précisément à temps pour sa crise d'adolescence. Produit typique de l'Upper East Side, elle a appris à être indépendante très tôt, elle a aussi appris à être forte. A envoyer balader ceux qui se moquaient de la couleur de sa peau, à envoyer balader les adultes qui lui demandaient des comptes quand ils ne faisaient rien pour elle. Elle a commencé à enchaîner les conneries pour se faire un nom dans son lycée bien trop bourgeois, et pour faire les pieds à ses irresponsables parents auxquels elle n'a jamais pardonné d'avoir divorcé. Et puis au fil des soirées à répétition, elle a rencontré un jeune homme un peu trop connu, et les tabloïds qui allaient avec. Et la jeune femme extravagante et la réputation allant avec leur a tout de suite plu. Le divorce six mois plus tard leur a plu également. Dans les pas de son ex-mari, elle a découvert le monde du musical, elle s'y est plu, et depuis elle a décidé que si elle devait bosser un jour dans sa vie, elle bosserait en backstage d'une de ces scènes qu'elle adore.




Caractère

Un air faussement innocent quand elle en a envie, un sourire éternel aux lèvres qu'il soit des plus francs ou bien trop moqueur, des yeux qui pétillent en permanence. Scarlett, quand elle veut, c'est un peu la bonne humeur incarnée, à ne jamais se prendre la tête sur quoi que ce soit, à vivre sa vie au jour le jour, en adoptant pour philosophie de la vie le célèbre "Hakuna Matata". Mais Scarlett, c'est aussi une princesse, elle aime quand un plan se déroule sans accroc et elle n'aime pas trop faire des efforts. Elle a toujours eu ce qu'elle voulait, et elle a toujours fait ce qui lui plaisait sans se préoccuper d'un quelconque futur ou de l'opinion des autres, et elle n'a pas vraiment l'intention d'en changer à un moment ou à un autre. Dans chacun de ses gestes et dans chacune de ses attitudes transpire cette bourgeoisie qui lui colle à la peau. Elle est cette jeune femme un peu trop pédante, un peu trop sûre d'elle-même, qui a toujours raison sur tout, et qui ne comprend jamais vraiment les problèmes des autres. Parce que les autres, à son humble avis, s'encombrent de bien trop de considérations. Ils devraient tous suivre son parfait exemple et ne pas se prendre la tête, vivre leur vie comme bon leur semble sans s'inquiéter du reste du monde. Quoi? Tout le monde n'a pas les moyens de faire ça? Et bien ils ont qu'à demander à leur parents de les aider. Quoi, ça ne marche pas comme ça pour tout le monde? Au fond, elle en est bien consciente, si elle y réfléchit deux secondes, mais elle n'a pas vraiment deux secondes à y perdre.
Mais si elle est une petite bourgeoise prétentieuse, souvent rivée à son téléphone, trop connectée, qui ne fait même plus attention au nombre de followers qu'elle a sur Instagram ou Twitter, elle a aussi le cœur sur la main. Elle a un cœur d'artichaut, se laisse facilement de faire les pires conneries si ça peut aider quelqu'un. Ce n'est pas pour rien qu'elle se retrouve régulièrement avec des cartons de chatons dans son appart en attendant de trouver quelqu'un à qui les confier, parce qu'elle ne peut pas laisser les petits monstres dans la rue. Elle ferait n'importe quoi pour un animal mignon en détresse, ou bien plus simplement pour un ami. Et ce n'est pas franchement difficile de gagner une petite place dans son cœur : proposez-lui une soirée karaoké, de passer la journée sous la couette à regarder des musicals en mangeant des cookies, ou bien de se faire un marathon Saw ou une autre série de films d'horreur quelconque... Oui, elle est facile à se mettre dans la poche, quand on est prêt à faire un petit effort. Le plus dur dans l'histoire, ce n'est pas de l'amadouer, mais de la supporter une fois que c'est fait. Parce que les gens qu'elle aime, elle les colle parfois un peu trop.


Groupe / Musical

Scarlett aurait pu se retrouver sur le set de n'importe lequel des musicals tentant de se faire remarquer à Broadway. Si elle aurait beaucoup aimé se retrouver à travailler en coulisse du Roi Lion, juste pour le clin d’œil à son surnom, c'est dans la troupe de Chicago que son cher paternel lui a trouvé un travail. Et elle adore. Le cast est fantastique, les filles la font rêver, les costumes sont justes splendides, et elle connaît toutes les chansons par cœur. Chicago, c'est certainement pas le premier musical qu'elle a connu, parce que ça, ce serait Grease (et d'ailleurs, son cœur bat toujours pour Zuko même si elle ne le dit pas trop ouvertement), mais ça reste un des musicals qui l'a marqué. Un casting de femmes fantastiques, des histoires un peu extrême et totalement folles, et un style de musique qui lui a tout de suite parlé. Un des premiers musical qu'elle a été voir sur scène, et elle est franchement ravie d'avoir la chance de pouvoir apporter sa petite pierre à l'édifice, même en tant que simple assistante-productrice.






Et toi? T'es qui?
‣ Pseudo / Prénom : Claire ‣ Âge : I'm an old lady. ‣ Fréquence de Connexion : All the time ‣ Ce personnage, c'est : Meh, un peu de tout ‣ Tu nous as connu comment? : Bah c'est compliqué, mais au final, si on essaie de trouver le début de cette débâcle, on pourrait dire que c'est la faute à Margaux. ‣ Un truc à dire pour finir? : Je vous bécote d'amour  Scar - I'm surrounded by idiots (and I love them) 1821464248  

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Scar - I'm surrounded by idiots (and I love them) EmptyJeu 28 Juil - 17:38

Story of my life


On pourrait raconter beaucoup de chose sur la vie de Scarlett. On pourrait broder sans trop de soucis, et embellir le tout. Les journaux peoples n'ont jamais trop hésité à rajouter des chapitres sortis de nulle part à l'histoire de sa vie. Pourtant, elle est simple, sa vie. Scarlett, elle est née à Johannesburg en 1990. Elle trouve ça pratique, parce que c'est un chiffre rond et que ça demande pas trop d'efforts de calculer son age. Son père était l'ambassadeur américain en Amérique du Sud, qui était tombé sous le charme d'une fille du pays. Ils avaient appelé leur fille Dorothy en référence aux légendes du magicien d'Oz, sûrement, et parce que c'était à la mode. Une enfance des plus typiques. Des parents trop riches et trop absents, une nounou adorable qu'elle aimait de tout son cœur et qui l'élevait comme sa propre fille. Et après la nounou vint la gouvernante qui ne manquait pas de lui donner des cours particulier le weekend et de s'assurer que ses devoirs étaient toujours bien fait. A l'école, Dorothy aurait du être une élève modèle. Elle avait toutes les cartes en mains pour réussir à la perfection. Ou presque toutes. Atteinte de vitiligo depuis son plus jeune âge, la petite subit dès les premiers jours d'école les remarques déplacées de ses petits camarades, et quand on l'appelait seulement "panda", c'était qu'il s'agissait d'un bon jour. Et malgré une éducation de princesse et sa bonne humeur hors du commun, la petite Dorothy ne manqua pas de se bagarrer. Elle revint plusieurs fois à la maison avec les genoux plein d'égratignure et les yeux bouffis de larmes. Le choc était dur. Après une enfance de princesse loin du monde extérieure, elle était confrontée à la méchanceté des gens de son âge. Mais elle s'endurcit plus vite qu'on ne l'en aurait cru capable. Et elle pouvait en remercier sa mère qui lui répétait tous les soirs, quand elle était à la maison, à quel point elle était belle, que ça lui ouvrirait des portes, et qu'elle ferait de grandes choses. Quoi qu'en dise ces ignorants avec qui elle avait classe, elle était parfaite. Elle était mieux qu'eux. Un jour, elle serait reine du monde, et on verrait bien alors qui c'est qui ferait la loi.

Mais elle comprit assez vite qu'il n'y avait pas un titre de reine du monde. Vraiment. Alors elle se contenta d'être la reine de sa classe. Reine de son collège. Reine de son quartier. Le menton haut, l'allure fière, et le verbe assassin pour quiconque osait faire une remarque désobligeante quant à la dépigmentation de sa peau. Elle était fière de ce qu'elle était, avec sa maladie, et elle n'allait pas laisser qui que ce soit en douter. Elle était fière, elle était meilleure qu'eux, elle était plus riche qu'eux, et depuis le temps qu'elle vivait à Johannesburg, les autres gosses savaient qu'elle était le genre de fille avec qui on a envie d'être ami. Parce qu'elle organisait des fêtes exceptionnelles, parce qu'elle était adorable avec les autres quand on prenait la peine d'être aimable avec elle et de ne pas faire de remarques désobligeante, et parce qu'elle savait comment détruire quiconque se mettait en travers de son chemin. Elle avait une allure de princesse et un sourire d'ange, mais la simplicité avec laquelle elle trouvait les points faibles de ses bullys était déconcertante, voire terrifiante.

Alors qu'elle atteignait ses quatorze ans, elle avait à ses côtés une bande d'amis assez solide, et rare étaient ceux qui osaient encore mentionner son vitiligo quand elle pouvait les entendre. Mais son père lui enleva tout ça. Elle fit un caprice, une crise de nerf, elle bouda enfermée dans sa chambre pendant un mois... Mais ça ne changea rien à sa décision. Il vint la voir dans sa chambre, lui expliqua longuement qu'il ne travaillait quasiment plus jamais à Johannesburg et qu'il ne pouvait pas continuer à vivre aussi loin de sa famille. Que son couple ne pouvait tenir s'il ne voyait pas sa femme plus régulièrement. Dorothy s'était contenté de hausser les épaules avec un regard assassin. Elle n'avait pas le choix de toute façon, elle devait les suivre. Et c'est juste après ses quatorze ans qu'elle débarqua à Manhattan. Dans un collège où elle ne connaissait absolument personne. Dans un collège où d'autres qu'elles faisaient déjà la loi depuis quelques années. S'intégrer, se faire respecter, se faire apprécier... Elle devait tout reprendre à zéro. Et si cela promettait d'être extrêmement épuisant, elle restait confiance. Elle pouvait le faire. Sa mère le lui avait dit, elle était magnifique, jamais rien de lui résisterait.

Elle aurait pu être une élève modèle, de ces gosses de riches qui font la fierté de leur école, toujours propres sur eux et décrochant leurs diplômes haut la main. Elle n'était pas idiote, elle comprenait les cours, sa gouvernante s'assurait qu'elle réussisse en toute circonstance... Mais non. Parce que le mariage de ses parents ne résista pas aux années malgré leur bonne volonté, malgré le déménagement, malgré les semblants d'efforts des deux côtés pour être plus disponibles pour leur famille. Et elle aurait pu s'en remettre, sûrement, si elle avait fait un effort. Mais on lui avait fait quitter son collège, son groupe d'amis, son confort, sa ville, et son pays... pour ça?! Tout ça pour rien. Tout ça pour que le divorce arrive quand même, inexorable, inévitable. Et Dorothy décida qu'elle n'avait plus envie d'être cette enfant parfaite qu'elle avait tenté d'être. Elle était une princesse, certes, mais une princesse rancunière et qui pouvait leur faire payer.


La crise d'adolescence de la petite Dorothy ne fut pas forcément des plus agréables pour ses parents. Elle abandonna son premier prénom au profit du second, parce que tout de même, Scarlett c'était classe. Elle abandonna l'idée de réussir en cours, parce que ça n'était pas si important que ça. La fortune du paternel lui assurait une vie confortable quoi qu'il advienne. Alors non, elle n'avait pas besoin de bonnes notes, celles-ci n'avaient jamais servit qu'à faire plaisir à ses parents, et c'était la dernière chose qu'elle voulait à présent. Elle fut donc l'une de ces pestes, installée au fond de la classe, à discuter en permanence avec ses voisines, et à répondre toujours un peu trop abruptement au professeur quand celui-ci osait lui faire la moindre réflexion. Les figures d'autorité n'avaient plus aucun intérêt à ses yeux et elle ne leur montrait plus aucun respect. Que pouvaient-ils faire contre elle de toute façon? Son père assurait qu'elle ne soit pas virée du lycée quelles que soient ses notes ou son attitude. Aucune mention de ses écarts dans son dossier, des notes sensiblement améliorées par ses professeurs, et la discrimination positive jouant en sa faveur, la voilà qui se retrouve dans une fac digne de ce nom, à prétendre étudier l'économie.

Elle aurait pu s'y intéresser, vraiment. Elle aurait pu faire l'effort. Mais elle n'avait pas envie. Et il ne s'agissait même plus vraiment de vengeance. Elle avait appris à faire la fête, à sortir bien trop souvent, à dormir sans se soucier de son réveil, à profiter de la vie comme elle venait et des surprises qu'elle lui réservait. Elle avait appris à vivre au jour le jour sans s'angoisser de ses cours. Alors oui, elle décrocha sa première année, mais ce ne fut qu'un coup de chance. Pour être honnête, elle passait plus de temps à voyager à travers le pays et à s'amuser qu'elle ne passait de temps à la fac. Si elle y allait, cela tenait du miracle. Elle filtrait les appels de ses parents pour n'avoir pas à écouter leurs leçons de moral à deux francs, et elle subit l'intervention qu'ils lui firent dans l'appartement qu'ils lui avaient acheté sans se départir de son sourire moqueur. Avant de changer toutes les serrures un fois qu'ils étaient partis, s'assurant ainsi qu'ils ne pourraient plus lui imposer leur présence.

Et puis au hasard des soirées, des voyages et des conneries en tout genre, elle finit par croiser quelqu'un qu'elle n'aurait jamais pensé croiser. Si on lui demande, elle va dire que c'est vraiment trop peu crédible. Ca ressemble à de la mauvaise fanfiction. Elle rencontre cet idiot de Seth Copeland, le courant passe étrangement bien (enfin, pas si étrangement, si l'on prend en compte que Scarlett est une fan de longue date), et ils finissent mariés à Vegas avant que quiconque n'ai eu le temps de dire Elvis. Ou de leur faire remarquer à quel point l'idée était mauvaise. Alors oui, c'est intense, oui, c'est rapide, et oui, ça leur ressemble beaucoup. Ils comprennent pas vraiment pourquoi ils ont fait ça, mais ils font avec. Après tout, ça ne leur coûte rien d'essayer de faire marcher la chose... Sauf qu'aucun des deux n'est vraiment fait pour être posé, en couple, au calme. Et si Scarlett n'envisage même pas une seconde le divorce, toujours trop amère de la décision de ses parents quand elle était adolescente, Seth ne met pas trop longtemps à la convaincre. Parce qu'elle a beau n'avoir rien contre l'idée d'être simplement un couple libéré, elle n'avait jamais tenu à être mariée. Et si son mariage totalement inattendu à Vegas n'avait pas manqué de déplaire à ses parents, comment les décevoir plus que par un divorce aussi rapide. Il fallait l'avouer. Il n'y avait pas que ses parents qui pesaient dans la balance. Il y avait également ces foutus paparazzis qui ne manquaient pas de lui tomber dessus dès qu'elle se permettait un écart, et les fans totalement folles de son cher et tendre qui l'insultait de tous les noms dès qu'elles trouvaient une bonne excuse. Voire quand elles n'en trouvaient pas.


Divorcée à vingt-trois ans et plutôt contente de son état. Elle ne regrette certainement pas cette histoire. Elle ne regrette certainement pas de s'être mariée sous l'effet de l'alcool et sur un coup de tête. Elle ne regrette qu'ils aient tenté leur chance. Elle ne regrette pas d'avoir emménagé chez Seth, pour six mois. Parce que Seth lui a fait découvrir sa nouvelle passion. A la demoiselle qui était déjà une passionnée de musées, de cinéma, et de théatre, il fit découvrir le monde des comédies musicales. Scarlett était ce genre de gosse de riche qui dépensait l'argent du paternel pour découvrir tout ce que la vie avait à lui offrir. Boire tous les alcools qui lui était possible de boire, certes, mais aussi découvrir toutes les œuvres d'art qui lui était donné de découvrir. Et grâce à Seth, elle trouva ce qu'elle voulait faire de sa vie. Non, la fac d'économie ne menait nulle part, et si elle y était toujours malgré ses résultats médiocres ce n'était que parce que le directeur jouait au squash tout les weekends avec Monsieur Van Doren. Non, la fac d'économie ne menait nulle part, et elle avait abandonné depuis bien longtemps d'aller en cours. Elle ne se réinscrit pas l'année suivante. Elle préféra se faire sa place dans ce monde qui avait réussit à la passionner du premier coup d'oeil.

Scarlett avait les moyens d'avoir les contacts nécessaires pour s'infiltrer dans les coulisses des pièces qui lui plaisaient. Elle avait les moyens de faire connaissance avec les staffs, de se faire sa place aux soirées privées, de rencontrer les gens qu'elle voulait rencontrer, et de se faire sa place. L'air de rien. Son téléphone à la main, accumulant les photos idiotes, les snaps de stars, les vidéos absurdes des coulisses. Si elle avait déjà son petit succès sur les réseaux sociaux, cela ne manqua pas d'exploser à ce moment là. Elle avait les moyens de se faire une place. Elle s'était faite une place. Mais elle n'était pas là que pour prendre des photos et du bon temps. Elle s'était décidée à y travailler. Ne pas être un simple parasite qui profite de sa chance pour accumuler les followers. Et malgré son absence de réelle formation, ses liens divers et variés lui permirent d'enchainer les petits boulots divers et variés, en coulisse de ses musicals favoris. Elle doit les avoir tous fait, les boulots qui lui était possible de faire. Incapable de se poser, incapable de se satisfaire. Quoi qu'il advienne, il lui en fallait plus.

Le dernier en date, c'est le poste d'assistante-productrice. C'est le dernier en date, et le seul qu'elle ai tenu aussi longtemps. Elle ne sait pas vraiment depuis quand elle a été aussi passionnée par ce qu'elle fait. Elle qui était habituée à ne faire que s'enthousiasmer pour des œuvres que les autres créaient, elle a maintenant l'occasion d'être un petit maillon dans la chaîne, et le sentiment de satisfaction qu'elle en retire n'a pas d'égal. Alors oui, elle continue les soirées à répétition, parce qu'après tout, elle ne voit pas vraiment de raison de s'en priver. Elle est toujours cette gosse de riche qui vit dans l'appartement payé par son père, un peu trop prétentieuse et sûre d'elle. Mais maintenant elle a un vrai but, quelque chose qu'elle ne lâchera pas. Elle s'est promis de devenir productrice à part entière. De faire ses preuves, de se débarrasser de ce titre d'assistante, et de s'imposer. Elle ne peut pas faire marche arrière, après tout elle a quelques dizaine de milliers d'abonnés qui comptent sur elle pour faire de grandes choses.

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Camille L. Hobbs
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Comme on est sympa  Scar - I'm surrounded by idiots (and I love them) 3781366215 on s'occupe de rajouter votre avatar au bottin, ainsi que votre métier si vous êtes un acteur de musical. Si vous avez un autre métier, vous pouvez aller faire votre demander pour être ajouté au listing ici. Par défaut nous acceptons pas les doublons de nom ou prénom, et nous nous occupons de rentrer votre pseudonyme dans le bottin des noms et prénoms. En revanche, si vous avez envie d'avoir des cousins et cousines impromptues et vous pouvez nous le signaler pour ouvrir votre nom de famille

Bien évidement, comme tout forum, vous pouvez aller poster votre fiche de liens pour vous faire plein d'ami et planifier vos rps. Si vous avez du mal à vous trouver un partenaire de rp, vous pouvez aussi venir en demander ici on passera forcément vous voir Scar - I'm surrounded by idiots (and I love them) 1821464248

Ensuite puisque vous avez été ajouté au groupe correspondant à votre musical préféré, cela veut dire que vous allez l'aider à rester à l'affiche le plus longtemps possible. Pour cela il faut aider votre groupe à gagner des points. Vous trouverez les demandes en fonction de votre groupe dans cette partie là

Et en vrai, si vous êtes perdu, non seulement vous pouvez venir nous poser des questions  Scar - I'm surrounded by idiots (and I love them) 1821464248 mais en plus vous pouvez toujours vous referrer à ce master post pour vous guider dans l'essentiel de Bobby .  Scar - I'm surrounded by idiots (and I love them) 2795175745

BON JEU  Scar - I'm surrounded by idiots (and I love them) 3671385254  Scar - I'm surrounded by idiots (and I love them) 2743221382  Scar - I'm surrounded by idiots (and I love them) 1889080299  Scar - I'm surrounded by idiots (and I love them) 3206848833




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